Bouchon ou screw top ?
Non, je ne suis pas là pour relancer le débat « bouchon de liège ou à vis, lequel est le meilleur pour la conservation ? ». Ni même pour disserter sur le problème du goût de bouchon. Car avouons-le tout net : ma préférence va au réel bouchon de liège, rien que pour l’incontournable « pop » reconnaissable entre mille à l’ouverture.
Je tiens juste à faire remarquer que le bouchon à vis a pris une telle ampleur en Australie (et en Nouvelle Zélande) que bientôt, si ça continue, il n’y aura même plus de débat. Et oui, certains vignerons que nous avons rencontrés ne peuvent plus se fournir en bouteille de type alsacienne avec un vrai bouchon. Selon eux, ils sont aujourd’hui moins d’une dizaine à utiliser le bouchon de liège pour le riesling en Australie.
La solution qu’ils ont trouvée est donc de se regrouper pour des commandes de gros dans des pays comme l’Allemagne, et de les faire livrer en Australie. Ce qui au passage, n’est pas terrible d’un point de vue écologique…
On peut d’ailleurs ajouter que les experts débattent encore pour savoir lequel de la vis ou du liège est le moins «lourd » pour l’environnement, matière première, fabrication et transport pris en compte… On a reçu au moins trois avis différents depuis qu’on est ici.
Ce qui est certain, en revanche, c’est que le « screwtop » ou bouchon à vis est économiquement beaucoup plus logique. Plus fiable, il occasionne moins de pertes, moins de mauvaises surprises… (ou de bonnes, diront certains…) Quoiqu’il en soit, je trouve un peu triste que la « diversité du bouchon » soit si menacée. Une fois de plus, ce sont les petits producteurs qui payent pour maintenir la tradition du bouchon de liège, à leurs risques et périls.
Je tiens juste à faire remarquer que le bouchon à vis a pris une telle ampleur en Australie (et en Nouvelle Zélande) que bientôt, si ça continue, il n’y aura même plus de débat. Et oui, certains vignerons que nous avons rencontrés ne peuvent plus se fournir en bouteille de type alsacienne avec un vrai bouchon. Selon eux, ils sont aujourd’hui moins d’une dizaine à utiliser le bouchon de liège pour le riesling en Australie.
La solution qu’ils ont trouvée est donc de se regrouper pour des commandes de gros dans des pays comme l’Allemagne, et de les faire livrer en Australie. Ce qui au passage, n’est pas terrible d’un point de vue écologique…
On peut d’ailleurs ajouter que les experts débattent encore pour savoir lequel de la vis ou du liège est le moins «lourd » pour l’environnement, matière première, fabrication et transport pris en compte… On a reçu au moins trois avis différents depuis qu’on est ici.
Ce qui est certain, en revanche, c’est que le « screwtop » ou bouchon à vis est économiquement beaucoup plus logique. Plus fiable, il occasionne moins de pertes, moins de mauvaises surprises… (ou de bonnes, diront certains…) Quoiqu’il en soit, je trouve un peu triste que la « diversité du bouchon » soit si menacée. Une fois de plus, ce sont les petits producteurs qui payent pour maintenir la tradition du bouchon de liège, à leurs risques et périls.